viernes, 25 de abril de 2008

Le jardin des femmes


Il y a longtemps, une femme qui s’appelait Jacqueline vivait avec son mari dans une ville normale. Un jour, elle ne pouvait pas tenir la cruauté de son mari et elle a décidé de laisser son mari, sa famille et sa maison. Elle est allée loin de ceux-ci.

Après de marcher beaucoup, elle est arrivée dans en un endroit retiré, à côté d’une rivière. Elle s’est assise et elle a pensé quoi faire depuis. Elle ne savait pas où aller, mais soudain elle a eu une promesse qu’elle a eu depuis elle était petite : elle pensait toujours d’aider les femmes qui avaient souffert. Alors elle a décidé de faire un jardin seulement pour les femmes, un lieu où elles se puissent voir et trouver. Mais ce jardin ne serait pas un jardin normal, il serait un jardin où seulement il aurait miroirs.

Elle a parlé sur son projet à ses amies, elle avait besoin trop de miroirs.

Ses amies ont cherché miroirs et elles ont parlé sur ce projet à autres femmes.

Finalement, le jardin a été terminé. Jacqueline disait que si une femme était chagrine ou elle avait souffert, elle pouvait se promener en travers des chemins du jardin, mais les hommes ne pouvaient savoir l’existence du jardin, il devait être un secret.

Les femmes qui se promenaient pour les chemins se sentaient meilleures. Elles pensaient, parlaient avec autres femmes, réfléchissaient… mais pour quoi elles se sentaient meilleures ? Parce qu’elles se voyaient, elles étaient les fleurs du jardin, elles pouvaient voir sa visage. Elles étaient la douceur de celui-là.

Le secret s’est répandu chez les femmes pour toute la région.

Un jour, le jardin s’est rempli de rats. Jacqueline ne savait pour quoi, mais quand la guerre a commencé elle a entendu.

Jacqueline a dû marcher et le jardin s’est fermé.

La guerre était terrible et le jardin a été détruit par les bombes.

Depuis dix ans, Jacqueline est retourné au jardin. Elle a contemplé les ruines de ce lieu-là. Maintenant elle était plus vieille mais son cœur n’avait pas vieilli. Tout à coup, elle a vu un miroir qui s’avait sauvé.

Elle a pris ce miroir et elle l’a transporté à chez luis. Quand elle était chagrine ou quand elle se sentait mauvaise, elle voyait le miroir et ses chagrines disparaissaient.

Après de sa mort, le miroir n’a pas été trouvé.

Lend Bernard